Revue de presse

« Réédition d’un petit livre aussi mythique qu’indispensable par celui qui a traversé les années folles de la Beat generation aux Etats-Unis. Un petit franchie qui nous raconte ses années Hip, en mots et en photos, en noir et blanc comme en couleurs. On y croise Joan Baez, Allen Ginsberg, Henry Miller… On le suit en Californie, à Big Sur, sur la route des Indes, à Ceylan, à Goa… Plossu nous raconte sa quête d’amour, ses illusions et ses désillusions. Indispensable. »

Fisheye N°48, juillet-août 2021 – Lire l’article
Far Out !, par Bernard Plossu

« Cela raconte une époque, un essai de vivre-ensemble. Un temps où l’on partageait les dortoirs, les douches… C’est d’ailleurs l’un des enjeux pour l’avenir : comment va-t-on continuer à construire des choses ensemble. Mais aussi comment on peut faire du neuf avec de l’ancien. » Marion Muller-Colard imagine ce livre comme « une suture », « une transition entre ce que le lieu a été et ce qu’il va devenir ». »

Edouard Cousin, DNA et L’Alsace, 22 juillet 2021 – Lire l’article
La colo, par Marion Muller-Colard et Francis Kauffmann

« Nicolas Decoud utilise ici les codes du genre avec intelligence, sans les prendre trop au sérieux. Résultat: trois nouvelles comiques et originales, profondément humaines sous leurs dehors loufoques. Que le lecteur soit prévenu: il sera question de sexe, oui, mais pas uniquement. La cupidité, la violence, le dégout et le ridicule font parfois irruption au fil des pages. Reste que ces trois histoires renouvellent l’envie de se frotter à cette littérature par trop méconnue. »

Anne Mellier, Pokaa , 19 juin 2021 – Lire l’article
Premier jet, par Nicolas Decoud

« C’était l’époque où on disait « colo », où on disait « mono », où on partait encore plusieurs semaines loin de chez soi. C’était l’époque où l’expérience collective était une valeur partagée, où la nature et ses plaisirs simples étaient une évidence. »

Frédérique Meichler, L’Alsace, 16 juin 2021 – Lire l’article
La colo, par Marion Muller-Colard et Francis Kauffmann

« Non, vous n’avez pas mal réglé vos lunettes de vue. C’est comme ça pendant 220 pages. Du Boris Vian sous acide. Dans la promesse de départ, le mot essentiel était « poétique ». De la prose virevoltante, furieusement inventive, s’appuyant sur les codes du polar pour bâtir des châteaux en Utopia, à déclamer à l’oral. »

Jacques Lindecker, L’Alsace, 13 juin 2021 – Lire l’article
One Kiss, par Jean-Pierre Cretin et Matthieu Messagier

« On croit rêver. Far Out ! de Bernard Plossu fait l’effet d’un voyage extatique et nostalgique, retour vers un passé idéalisé ou voué aux gémonies, l’utopie d’une génération qui voulait briser les chaines et les carcans du monde d’avant… »

Jacques Lindecker, L’Alsace, 13 juin 2021 – Lire l’article
Far Out !, par Bernard Plossu

« Mettant durant quatre mois ses pas dans ceux des Détectives sauvages – le roman culte de Bolano, Julien Allouf parcourt le « De Effe »… et croise par hasard les personnages du dit-roman, les poètes infraréalistes, anges maudits ou visionnaires. Collage de clichés fantomatiques, de bribes de son journal intime, d’éclats de textes ou d’images, le récit du photographe avance en déséquilibre, comme investi d’une mission, « comme si le ciel ou un dieu aztèque me disait : il reste peu de temps c’est presque fini. » »

Jacques Lindecker, L’Alsace, 25 avril 2021 – Lire l’article
Mexico, par Julien Allouf

« Il y a chez ce garçon une élégance, quelque chose du dandysme, mais qui relève de quelque chose de profond : le désir de n’en faire qu’à sa tête, de n’écrire que lorsqu’il en a envie, de ne pas peser ni envahir, et comme le confirme en filigrane son nouveau livre, Le Carnet vert, une vraie conscience de ce qu’il y a de dérisoire à toute situation, d’illusoire à toute volonté d’exister à tout prix, de vanité dans la vie… »

Nelly Kaprièlian, Les Inrocks, 11 mai 2021 – Lire l’article
Le carnet vert, par François Gorin

« On retrouve ainsi dans la voix de François Gorin la délicatesse et la poésie de certains films de François Truffaut, comme Jules et Jim ou Baisers Volés. Le Carnet Vert organise un art impressionniste du portrait, par touches successives, comme autant d’instants glanés. En effaçant les noms propres, l’auteur crée un décalage qui fait émerger de tous ces portraits et de toutes ces situations un sentiment de romanesque. »

Antoine, Univers Cultures Sauvages , 5 mai 2021 – Lire l’article
Le carnet vert, par François Gorin

« Instants confinés, c’est un ouvrage collectif issu d’un atelier d’écriture initié par les bibliothèques de Mulhouse et animé par l’écrivain Christophe Fourvel. Il raconte les 55 jours du premier confinement que l’on serait tenté d’oublier.  »

Karine Dautel, L’Alsace , 29 avril 2021 – Lire l’article
Instants confinés, ouvrage collectif issu d’un atelier d’écriture imaginé par les Bibliothèques de Mulhouse

« D’une écriture poétique, Blineau rend compte de l’incrédulité qui a touché de plein fouet des millions de personnes dans le monde, à l’instant où la nouvelle est tombée aux États-Unis – parfois, en fonction du fuseau horaire, au réveil devant une tasse de thé. Dans des pages tenues, il laisse deviner à quel point la mort de Lennon a provoqué une onde de choc d’une intensité incomparable. »

François Huguenin, La Vie , 13 avril 2021 – Lire l’article
Vies et morts de John Lennon, par Hugues Blineau

« Une forme de variation sur le thème du deuil, à travers la figure de John Lennon. Une expérience de l’intime qui revêt l’apparence d’un diptyque, autant par la thématique qui s’étire autour des Beatles que dans l’opposition entre anonymes et personnalités qui se rejoignent dans la peine. »

Mag Chinaski, Addict Culture , 13 avril 2021 – Lire l’article
Vies et morts de John Lennon, par Hugues Blineau

« Ce jour-là, un vendredi, Paul McCartney annonce, dix ans après la formation puis le succès planétaire du groupe, la fin des Beatles. Le Nantais n’a pas vécu la stupeur du moment. Mais il l’a imaginée. Dans son premier roman, Le jour où les Beatles se sont séparés, « une fiction documentée », l’auteur retrace cette journée particulière, de l’aurore au crépuscule, avec des fans rassemblés à Londres.  »

Magali Grandet, Ouest France , 10 avril 2021 – Lire l’article
Le jour où les Beatles se sont séparés, par Hugues Blineau

« Alors que vient de sortir Aurora, premier album de Marquis, qui aurait pu être le troisième opus du groupe Marquis de Sade (quarante ans après sa séparation), sans le suicide de son chanteur, Philippe Pascal, le 12 septembre 2019, rappelons la récente publication de Fleurs plantées par Philippe, court et poignant livre de Dominique Ané. Avec sobriété et délicatesse, celui qu’on connaît sous le nom de Dominique A évoque son rapport à la musique, aux textes, à la silhouette anguleuse du charismatique Rennais qui, après l’incandescence post-punk de Marquis de Sade, l’avait marqué, lui, le jeune Nantais, grâce aux élans romantiques du groupe Marc Seberg fondé par Pascal. »

Stéphane Davet, Le Monde, 8 avril 2021 – Lire l’article
Fleurs plantées par Philippe, par Dominique Ané

« Mais ce roman ne parle pas que d’écologie. Il dépeint aussi un couple en crise, les enjeux de la libération sexuelle et de l’égalité homme-femme, dix ans après Mai 68. Il saisit enfin cette jeunesse au moment où elle abandonne ses rêves, bon gré mal gré, sans état d’âme ou avec amertume. »

Olivier Brégeard, DNA, 28 mars 2021 – Lire l’article
Les années vertes, par Philippe Lutz

« Soulignons le travail d’artiste effectué par Julien Allouf qui a traversé Mexico son Nikkormat à la main. Des clichés beaux, poignants, agencés avec soin, comme s’il s’agissait d’un film et qui donne le sentiment au lecteur d’assister à une séance de cinéma. Une poésie de la rue en fait.  »

Jean-Rémi Barland, Destimed, 24 mars 2021 – Lire l’article
Mexico, sur les traces des détectives sauvages, par Julien Allouf

« De la publication matinale du Daily mirror au passage au « jour d’après », l’auteur nous plonge dans les affres de multiples protagonistes, à commencer par nos quatre de Liverpool et leur entourage. Très écrit, ce court roman touche juste dans l’exploration des tourments qui suivent cette décision pour les Beatles eux même mais aussi chez toute une jeunesse anonyme pour qui « Abbey road », consciemment ou non, a constitué une pierre angulaire à sa construction… Superbe ! »

Fred – Librairie Durance, Place des libraires , 7 mars 2021 – Lire l’article
Le jour où les Beatles se sont séparés, par Hugues Blineau

« Un récit intimiste, mais mené comme une enquête journalistique, avec de nombreux témoignages. Le tout agrémenté de photos noir et blanc, qui nous replongent dans les années 1970 et 1980. »

Erwan Chartier-Le Floch, Le Poher, 3 mars 2021 – Lire l’article
Ciel d’orage, par Pierre-Henri Allain

« Aussi envoûtant que pénétrant, évoquant le meilleur Murat ou Gainsbourg période Melody Nelson, l’ensemble révèle un ardent pouvoir suggestif et restitue la langue visionnaire de Germain nouveau dans tout son éclat, absolument moderne. »

Jérôme Provençal, Les Inrocks, mars 2021 – Lire l’article
Nouveau, par Nicolas Comment & Yannick Haenel

« Ceux qui s’étaient laissés tenter par le premier livre du Nantais Hugues Blineau consacré à la séparation des Beatles auront plaisir à retrouver sa plume alerte et poétique pour une nouvelle excursion historique dans le destin du plus grand groupe de rock de tous les temps. »

Benjamin Berton, Sun burns out, 24 février 2021 – Lire l’article
Vies et morts de John Lennon, par Hugues Blineau

« Alors qu’il termine un recueil de témoignages sur le confinement, Christophe Fourvel a le plaisir de voir son éditeur, Médiapop, rééditer son Ode au corps tant de fois caressé, paru en 2019, dans un tirage spécial à l’occasion de la fête des amoureux, ce 14 février. »

Pierre Laurent, L’Est Républicain, 11 février 2021 – Lire l’article
Ode au corps tant de fois caressé, par Christophe Fourvel

« Le roman de Joëlle Varenne est un chant de solitude. Pourtant les rencontres y sont nombreuses et parfois belles, mais Isola est seule comme on l’est quand on y pense vraiment. Sa solitude est une fuite, avec quelque chose au bout. Un beau mélange assez troublant de désespoir et de chaleur humaine. Isola fait partie de ces livres qui paraissent dans des moments compliqués pour toute la chaîne du livre, des auteurs jusqu’aux libraires. »

Philippe Annocque, Hublots, 1 février 2021 – Lire l’article
Isola, par Joëlle Varenne

« Et si Nouveau (Médiapop records) est un pur disque de Nicolas, donc très beau, il a aussi deux particularités : être basé sur les poèmes de Germain Nouveau, ami-amant de Rimbaud qui ne voulait pas que ses poèmes soient publiés, et contenir un très beau livret,( un livre !), de photos de Nicolas sur les terres varoises de Germain Nouveau accompagnées d’un texte de Yannick Haenel. C’est bien entendu une édition en vinyle. Autant dire un merveilleux objet. »

Renaud Monfourny, Blog Les Inrocks, 15 janvier 2021 – Lire l’article
Nouveau, par Nicolas Comment & Yannick Haenel

« Pierre-Henri Allain livre un véritable hommage à ce cousin, anticonformiste, rebelle, imprévisible. Et surtout fan de rock, qui faisait échapper des rafales de sons de la fenêtre de sa maison. »

Jean Rolland, Ouest France, 5 janvier 2021 – Lire l’article
Ciel d’orage, par Pierre-Henri Allain

« Qu’ils soient précis ou vagues, lisibles ou non, qu’ils réussissent à tenir le chaos en respect, ces grammes ont en commun de désigner la page comme le lieu où se rencontrent l’idée et l’image. »

Guitemie Maldonado, The Art Newspaper, janvier 2021 – Lire l’article
32 grammes de pensée, essai sur l’imagination graphique, par Nicole Marchand-Zañartu et Jean Lauxerois

« Un drôle de petit livre très original, libre comme son inspiratrice – restauratrice, photographe, et même cantinière de cinéma. Des recettes ni guindées ni figées, mais plutôt gonflées, pour petits budgets, racontées avec humour et poésie. »

Paul & Henriette, L’Obs, 17 décembre 2020 – Lire l’article
Déjeuner chez Jojo, par Johanna Kaufmann

« Si vous cherchiez une idée de cadeau gourmande et locale qui conviendrait aussi bien à votre meilleur ami, votre belle-mère, votre grand-tante ou votre professeur de yoga, elle est toute trouvée. »

Claire Peyrot, France 3 Grand Est, 9 décembre 2020 – Lire l’article
Déjeuner chez Jojo, par Johanna Kaufmann

« Ciel d’orage de Pierre-Henri Allain (photographies de Jean Rolland) est un foutu bon bouquin, touchant comme un riff de Keith Richards sur Exile. Ce récit tout simple raconte la France des adolescents nés dans l’après-guerre, dans les pas de ce grand escogriffe de Jean, fauché à 33 ans. »

Lag, L’Alsace, 6 décembre 2020 – Lire l’article
Ciel d’orage, par Pierre-Henri Allain

« Ce cousin, c’est Pierre Henri Allain, correspondant de Libération à Rennes, qui livre là un magnifique témoignage sur cette génération bercée par le souvenir des cinq jours de fête et de musique à l’île de Wight. »

A.S., Libération, 5 décembre 2020 – Lire l’article
Ciel d’orage, par Pierre-Henri Allain

« Près d’un quart de la population syrienne a quitté le pays depuis 2011. Certains syriens commencent à revenir mais beaucoup resteront en exil, en France notamment. Parmi eux, des artistes dont on a pu voir l’an dernier à Malakoff, en banlieue parisienne, l’exposition Où est la maison de mon ami ?. On peut désormais retrouver ces œuvres dans un livre, intitulé Artistes syriens en exil, œuvres et récits, co-dirigé par Dunia al Dahan, l’une des commissaires de l’exposition. »

Juliette Gheerbrant, RFI, 5 décembre 2020 – Lire l’article
Artistes syriens en exil, œuvres et récits, Syrian Artists in Exile par Dunian al Dahan & Corinne Rondeau

« Le confinement l’a mis à l’arrêt , mi-mars, comme tout le monde, et il porte en lui Philippe Pascal, le chanteur de Marquis de Sade qui s’est suicidé en septembre 2019, alors qu’ils envisageaient tout juste d’écrire à quatre mains. La Loire continuait de couler, Dominique était désoeuvré sur son canapé, quand Philippe a surgi. (…) De cette apparition spectrale est né un livre, Fleurs plantées par Philippe (Médiapop Editions), ainsi qu’un enregistrement bien réel, avec les moyens du bord. »

Marie Klock, Libération, 16 novembre 2020 – Lire l’article
Fleurs plantées par Philippe, par Dominique Ané

« Auteure-photographe, cuisinière et voyageuse, Johanna Kaufmann fait partie de la toute première fournée de bloggeuses culinaires avec son site Je suis pas une courge. Autodidacte, elle appréhende l’assiette comme un support expérimental et émotionnel. Déjeuner chez Jojo est son tout nouveau recueil de « récits, de recettes et d’astuces de cuisine de resto, de catering et d’appartement » paru en novembre aux Éditions Médiapop. »

François-Régis Gaudry, France Inter – On va déguster, 15 novembre 2020 – Lire l’article
Déjeuner chez Jojo, par Johanna Kaufmann

« Par fragments, Christophe Fourvel, donnant chair à ces voix que d’habitude l’on n’entend pas, entremêle les récits et, petit à petit, le puzzle fait sens. Certes, aucune histoire ne ressemble à une autre, mais – l’effet est saisissant – ces êtres fragiles et insubmersibles se fondent en une communauté de destin(s). »

Jacques Lindecker, L’Alsace, 15 novembre 2020 – Lire l’article
Ce sont des bateaux que l’on regarde partir, par Christophe Fourvel

« Collage d’instants passionnés, sensuels, toujours sensuels, l’importance de la musique, des mots, de la poésie, des rencontres, des hommes qui viennent et qui repartent, Jachère est un instrument de séduction hypnotique et paradoxal, Chloé Mons s’y montrant tour à tour pudique/impudique, définitive/éphémère, perdue/retrouvée. »

Jacques Lindecker, L’Alsace, 15 novembre 2020 – Lire l’article
Jachère, Portrait en mouvement, par Chloé Mons

« Collage d’instants passionnés, sensuels, toujours sensuels, l’importance de la musique, des mots, de la poésie, des rencontres, des hommes qui viennent et qui repartent, Jachère est un instrument de séduction hypnotique et paradoxal, Chloé Mons s’y montrant tour à tour pudique/impudique, définitive/éphémère, perdue/retrouvée. »

Benjamin Locoge, Paris Match, 12 novembre 2020 – Lire l’article
Jachère, Portrait en mouvement, par Chloé Mons

« Ou leur permanence à l’inverse, quand il s’agit de reprendre l’Eclaircie afin de rendre un hommage au chanteur du groupe Marc Seberg (et Marquis de Sade auparavant), Philippe Pascal, mort à l’automne 2019, auquel Dominique A consacre également un livre très personnel : Fleurs plantées par Philippe, dans lequel il évoque avec une touchante sincérité son admiration pour le personnage, et leur collaboration manquée. »

Odile de Plas, Télérama, 4 novembre 2020 – Lire l’article
Fleurs plantées par Philippe, par Dominique Ané

« Entre mai 2019 et février 2020 la photographe Anne Immelé s’est rendue régulièrement dans le quartier du Nouveau Drouot qui doucement, s’efface. Un livre pour mémoire est né de ce travail, on y retrouve de la vie et de la lumière. »

Frédérique Meichler, L’Alsace, 23 octobre 2020 – Lire l’article
Oublie Oublie, par Anne Immelé

« Dans une fiction brève et intense, Hugues Blineau revient sur un micro évènement à l’échelle de l’humanité qui fût pourtant un trauma pour beaucoup : la séparation des Beatles. En construisant son récit magnifiquement écrit sur la journée de fans anonymes et de chacun des fab four, il nous charpente un… roman. Complètement attachant. »

Renaud Monfourny , Blog les Inrocks, 15 octobre 2020 – Lire l’article
Le jour où les Beatles se sont séparés, par Hugues Blineau

« En racontant sa vie sexuelle, son éditeur craignait que Chloé Mons, femme publique, ne s’expose trop. Bien au contraire, Jachère s’avère un livre de protection, parce que sans tricherie ou petites manigances avec les aveux. »

Fabien Ribery, L’intervalle, 12 novembre 2020 – Lire l’article
Jachère, Portrait en mouvement, par Chloé Mons

« Avis aux gourmands et à ceux qui ont envie de se faire plaisir en cuisine : Johanna Kaufmann propose, en 204 pages, quelques récits de ses voyages culinaires, des astuces de cuisine éprouvées, mais surtout 85 recettes à la fois simples et pleines de charme, toutes inspirées de sa sensibilité méditerranéo-alsacienne. »

Strasbourg Magazine, octobre 2020 – Lire l’article
Déjeuner chez Jojo, par Johanna Kaufmann

« C’est un livre court mais intense, rédigé par un chanteur majuscule sur un artiste torturé (…) »

Franck Vergeade, Les Inrocks, 30 septembre 2020 – Lire l’article
Fleurs plantées par Philippe, par Dominique Ané

« Paul Morris enrubanne sa version des 400 coups d’une tendresse mélancolique et d’une sourde colère qui bouscule le lecteur. »

Jacques Lindecker, L’Alsace, 13 septembre 2020 – Lire l’article
Le trou, par Paul Morris

« Ses clichés oscillent entre édifices en sursis et portraits d’habitants incertains quant à leur avenir, parfois hantés par la nostalgie d’une enfance passée dans ce quartier construit dans les années 1950 pour accueillir les ouvriers de la reconstruction après-guerre. »

DR, De l’air N°76, septembre 2020 – Lire l’article
Oublie Oublie, par Anne Immelé

« Avec Louise va encore sortir ce soir, paru le 3 juillet chez Médiapop éditions, François Gorin livre un roman d’initiation musicale et amoureuse ainsi qu’une revigorante chronique des mid-80s, qui donne envie de passer sa vie dehors. »

Bertrand Loutte, Arte TV, 27 juillet 2020 – Lire l’article
Louise va encore sortir ce soir, par François Gorin

« Une photographie de la jeunesse parisienne, mid-eighties, au grain juste, par Francois Gorin qui s’amuse à rassembler, disloquer les individus, « comme les osselets dont jouerait un dieu ivre ». »

A.I.-A, Libération, 4 juillet 2020 – Lire l’article
Louise va encore sortir ce soir, par François Gorin

« Chronique d’une absolue solitude, Le trou de Paul Morris éclaire d’une écriture au calme glaçant les ravages d’une enfance sans enfance. En pleine face. »

Nathalie Bach, Novo (N°59), juillet 2020 – Lire l’article
Le trou, par Paul Morris

« Roman d’initiation ou chronique élastique, qu’importe. Louise traverse sans se retourner un âge, d’or moins que d’orgueil, que l’on n’a ni maudit ni chéri mais qui nous a entièrement constitué, un labyrinthe de verre aux réflexions multiples, dont l’éclat, ici ravivé, agit comme un révélateur. De ce que nous fûmes, de ce que nous sommes, nous en savons désormais un peu plus. »

Bertrand Loutte, Section 26, 4 juillet 2020 – Lire l’article
Louise va encore sortir ce soir, par François Gorin

« Car Louise va encore sortir ce soir, comme l’annonce le titre du roman, le troisième, que publie début juillet François Gorin, une des voix indispensables du journalisme musical français au gré de ses articles dans Rock’n’Folk, Le Matin de Paris puis Télérama et de l’écriture, en 1990, d’un essai devenu pour beaucoup d’entre nous de chevet, Sur le rock. »

Jean-Marie Pottier, Magic, juillet / août 2020 – Lire l’article
Louise va encore sortir ce soir, par François Gorin

« Ce qui rapproche les 32 schémas que réunit cet ouvrage (…), c’est de condenser visuellement des expériences de pensée. »

Laurent Perez, Artpress, juillet / août 2020 – Lire l’article
32 grammes de pensée, essai sur l’imagination graphique, par Nicole Marchand-Zañartu et Jean Lauxerois

« Autant d’épiphanies oxygénantes dont témoignent les 52 textes compilés dans ce recueil intitulé Drôle de printemps , paru aux premiers rayons de soleil de l’été, peu après le déconfinement. Autant d’instants et d’instantanés qui, comme autant de nouvelles, interpellent et renvoient tout un chacun à soi, aux autres, au monde. »

P.L., Est Républicain, 3 août 2020 – Lire l’article
Drôle de printemps

« C’est un livre attendu à Mulhouse et au-delà. Pierre Freyburger, ancien élu de Mulhouse, publie ce 25 janvier « Musée de l’impression sur étoffes de Mulhouse, autopsie d’un pillage » (Ed. Médiapop). Il en enquêté pendant un an sur ce qu’il appelle « le plus grand pillage de musée en France », soit la disparition ces dernières années de très nombreuses collections, ainsi des vases Gallé et 400 foulards Hermès. »

Marie Pujolas, France Info, 27 janvier 2020 – Lire l’article
Musée de l’Impression sur étoffes de Mulhouse, Autopsie d’un pillage, par Pierre Freyburger

« Alors que l’instruction sur ce dossier est loin d’être close – même si pour beaucoup elle semble piétiner –, le livre Musée de l’impression sur étoffes, autopsie d’un pillage apporte un éclairage édifiant sur un lent naufrage. »

Hélène Poizat, L’Alsace, 23 janvier 2020 – Lire l’article
Musée de l’Impression sur étoffes de Mulhouse, Autopsie d’un pillage, par Pierre Freyburger

« Eh oui ! Ainsi va la littérature, après tant d’oeuvres inoubliables, telles que L’Après-midi d’un faune, Ecce homoou Paludes, voici qu’enfin paraît L’année de tous les baisers, livre ô combien revivifiant, joyeux et à tout jamais ensorcelant. »

Loïc Connanski, Aligre FM, 14 janvier 2020 – Lire l’article
L’année de tous les baisers, par Yves Tenret

« Admirateurs ou simples passagers d’une époque libre et insouciante, un certain nombre de personnages se remémorent les circonstances dans lesquelles ils apprirent, ce vendredi 10 avril 1970, que les Beatles venaient de se séparer. »

Livres Hebdo, 6 décembre 2019 – Lire l’article
Le jour où les Beatles se sont séparés, par Hugues Blineau

« Le 11 décembre avait lieu à Strasbourg un attentat qui a fait 5 morts et 11 blessés. Claire Audhuy, auteure, a perdu son ami Bartek, jeune homme engagé et touche-à-tout talentueux. Des premiers instants de l’attaque au décès de ce proche, elle a jeté sa douleur sur un carnet, devenu un livre L’hiver dure 90 jours. »

Kerstin Acker, Marion Nougueret, Arte Tv, décembre 2019 – Lire l’article
L’hiver dure 90 jours, par Claire Audhuy

« L’artiste graveur mulhousien Henri Walliser sort un nouveau livre, About jeans, avec Kiki DeGonzag pour les textes. Il décline le tissu bleu dans toutes ses formes et c’est comme une évidence pour lui. »

K. D., L’Alsace, décembre 2019 – Lire l’article
About jeans, par Kiki DeGonzag et Henri Walliser

« Christophe Fourvel signe un roman délicat à la douceur mélancolique, un instant fragile, fugace, qui ne dure que le temps d’une chanson, d’un poème. La rose reste vivante, malgré le naufrage du temps. »

Sylvie Zobda, La Cause Littéraire, 14 novembre 2019 – Lire l’article
Ode au corps tant de fois caressé, par Christophe Fourvel

« Les mots sont simples, les phrases courtes comme écrites dans l’urgence de narrer l’indicible. Claire Audhuy a choisi de raconter la perte de Bartek, cet ami si proche un sombre soir de décembre 2018 sous la forme d’épigrammes, des petits poèmes de cinq lignes. »

Jean-Michel Ogier, Marion Nougueret, France Info, 14 novembre 2019 – Lire l’article
L’hiver dure 90 jours, par Claire Audhuy

« Auteure et metteuse en scène, la Strasbourgeoise Claire Audhuy a écrit un livre L’hiver dure 90 jours à partir de ses notes prises dans les jours et semaines qui ont suivi l’attentat du marché de Noël de Strasbourg, le 11 décembre 2018. Elle y raconte notamment la perte d’un ami, Bartek, l’une des cinq personnes tuées par le terroriste. »

France Bleu, novembre 2019 – Ecouter l’émission
L’hiver dure 90 jours, par Claire Audhuy

« Femme de théâtre et de poésie, Claire Audhuy, 34 ans, y raconte la nuit de l’attentat vécue depuis son appartement transformé en refuge pour naufragés strasbourgeois, la découverte que Bartek figure parmi les victimes, les journées passées aux urgences avant son décès, intervenu le dimanche, l’organisation d’un hommage, mais surtout le manque laissé par la perte d’un ami. »

AFP, L’Express, novembre 2019 – Lire l’article
L’hiver dure 90 jours, par Claire Audhuy

« On les connait stars de cinéma ou vedette de la chanson, la photographe Delphine Ghosarossian dévoile nos artistes préférés sous un jour nouveau à travers son objectif. Son ouvrage « Faces of Sound » est un recueil attendrissant des talents d’hier et d’aujourd’hui. »

Le Journal des Femmes, novembre 2019 – Lire l’article
Faces Of Sound, rendez-vous photographiques, par Delphine Ghosarossian

« Comme nous le défendons aussi dans notre série “Julien Bourgeois, pour Magic”, dont les pré-commandes sont ouvertes, ce livre, préfacé par la journaliste Sophie Rosemont, compile des portraits photographiques de groupes ou de musiciens que l’on aime très fort tels Yo La Tengo, Sonic Youth, Pavement, The Bad Seeds, Etienne Daho ou encore Dominique A. Un œil magnifique, un autre. »

Magic, novembre 2019 – Lire l’article
Faces Of Sound, rendez-vous photographiques, par Delphine Ghosarossian

« Avec son écriture jazzy capable de camper une ambiance en trois lignes et sa capacité étonnante à rendre les dialogues à la fois vivants et édifiants, Yves Tenret nous trimballe dans l’année de ses 33 ans (1982), point de bascule, selon lui et pour lui, de l’enfance à l’âge adulte. »

Primitif, novembre 2019 – Lire l’article
L’année de tous les baisers, par Yves Tenret

« Parallèlement à son activité de peintre, Ayline Olukman développe un corpus photographique d’une grand cohérence dans lequel elle confronte les corps, des paysages ou des fragments dans sa chromie personnelle. Son nouveau livre, La Mue (Médiapop Éditions) vient de sortir. Un petit régal qui invite à la poésie et à la rêverie, nous montre le temps qui s’écoule doucement. »

Renaud Monfourny, Blog les Inrocks, novembre 2019 – Lire l’article
La mue, par Ayline Olukman (photographies, collages et textes) et Emmanuel Abela (textes)

« Honneur aux excentriques. Aux excentrés. À ceux qui se trouvent dans la marge et narguent les valeurs en place. Il est embellissant de fréquenter les dédaigneux du sens commun, les arpenteurs hors-piste : que leurs écarts soient retentissants ou discrets, ils ouvrent des perspectives, ils faussent les rails du sens unique. »

Evelyne Pieiller, Le Monde diplomatique, novembre 2019 – Lire l’article
Les Grands Turbulents. Portraits de groupes 1880-1980

« L’objectif n’est de défendre ni l’animal, ni l’humaine condition. La seconde est souvent plus “bête” que le premier surtout lorsque la pulsion d’éros est là. La poétesse s’en moque et rappelle que les animaux qui nous hantent font notre délice et notre perte… »

Jean-Paul Gavard-Perret, Le Littéraire, novembre 2019 – Lire l’article
Trop bête pour toi!, par Florence Andoka

« We are the universe évoque ce qui nous lie intimement à la nature : nous sommes tous faits des mêmes atomes. »

Frédérique Meichler, L’Alsace, 8 juin 2019 – Lire l’article
We are the universe, par Véronique Arnold

« De l’humour, des humeurs, mais aussi de l’amour. À commencer par celui des mots. »

Pierre Laurent, Est républicain, juin 2019 – Lire l’article
Chroniques des années d’amour et d’imposture, par Christophe Fourvel

« Ceci n’est pas le premier roman de son auteur, qui a dépassé la cinquantaine et la quinzaine d’ouvrages publiés – dont certains pour enfants. Mais on est prêt à parier que c’est le meilleur. »

François Gorin, Télérama, mai 2019 – Lire l’article
Chroniques des années d’amour et d’imposture, par Christophe Fourvel

« Dans « L’École de rame », Nicolas Decoud livre un récit sarcastique où il envoie valser avec humour les grands idéaux portés par la mission de la Finul malmenés par les réalités du terrain. »

Florence Loeve, L’Orient Le Jour, 4 avril 2019 – Lire l’article
L’École de rame, par Nicolas Decoud

« Un livre, c’est une promesse de liberté, d’indépendance, d’amour, de folie(s). L’objet, si neutre à première vue, n’a pas fini d’enflammer ceux qui s’autorisent à le prendre en mains. Il est indépassable. Philippe Lutz, après avoir fort justement cité Umberto Eco, s’incline devant cet « outil » qui « nous nourrit mieux que tout autre outil (…) pour étancher notre soif de ressentir, de rêver, de comprendre, de nous évader ». Parfait. »

Jacques Lindecker, L’Alsace, 17 février 2019 – Lire l’article
L’homme qui aimait les livres, par Philippe Lutz

« Cela fait plus de 40 ans que je connais Yves Tenret et j’ai déjà écrit plusieurs articles sur ses livres. Le dernier en date s’appelle Mon AVC et il y parle de l’accident vasculaire cérébral qui l’a envoyé à l’hôpital en 2016. Il parle de lui, comme souvent, et c’est à mon avis ce qu’il fait avec le plus de talent. C’est un bon livre. »

Patrick Morier-Genoud, Bon pour la tête, février 2019 – Lire l’article
Mon AVC, par Yves Tenret

« C’est par un biais a priori peu subversif que les auteurs des Grands Turbulents abordent un siècle d’avant-gardes artistiques: les photos de groupe. On dirait une équipe de physiciens en congrès lit-on ici, une équipe de foot, est-il écrit ailleurs, ou encore un quatuor de musique classique ou un «catalogue de crânes». Au total, une cinquantaine d’images (dont quelques peintures), la plupart très sages, ont été sélectionnées avec un principe de base : il fallait qu’au moins un membre de chaque bande soit de face. De fait, le lecteur se sent ainsi sondé, voire interpellé. »

Frédérique Fanchette, Libération, 31 janvier 2019 – Lire l’article
Les Grands Turbulents. Portraits de groupes 1880-1980

« Toute sa vie, Philippe Lutz a vécu dans l’amitié fervente des livres – en lecteur précoce, puis en professeur de lettres, bibliothécaire et … bien entendu homme de lettres… »

Michel Loetscher, Naturisme Magazine 59-Livres, janvier 2019 – Lire l’article
L’homme qui aimait les livres, par Philippe Lutz

« Coordonne aujourd’hui une autre anthologie, partant d’une idée simple : la plupart des groupes d’artistes ou d’intellectuels apparus (parfois pour bientôt disparaitre) au XXe siècle ont laissé au moins une photo. De la galaxie des Arts incohérents, dont le fouillis dessine une forme d’oiseau, jusqu’aux cinq Chinois plaides de Xing Xing (les Étoiles), des plus énigmatiques aux plus attendus, chacun de ces portraits nous parle. »

François Gorin, Télérama, 12 décembre 2018 – Lire l’article
Les Grands Turbulents. Portraits de groupes 1880-1980

« Outre les photographies pleines d’utopie de Janine Bächle, c’est le format réduit de l’ouvrage qui marque, comme une bouffée d’air frais. A la fin du livre, les textes de la photographe, qui rentre chez elle après avoir vécu en harmonie avec la nature, atteignent leur but : nous interroger sur les impératifs de la course effrénée de la vie urbaine. Et – même si on aime les douches –, comment ne pas croire à ce manifeste décroissant ? Le petit opus a reçu un prix du Conseil allemand du développement durable. »

Clémentine Mercier, Libération, 27 novembre 2018 – Lire l’article
Lebensformen (Formes de vie), par Janine Bächle

« Impitoyable de Clint Eastwood, sorti en 1992, a reçu quatre Oscars, dont ceux de Meilleur film et Meilleur réalisateur. Dans ce film, Eastwood propose une réflexion sur la narration. Le western, « genre politique », entretient une relation particulière à l’histoire. Marc Rosmini, professeur de philosophie, interroge avec ce film le rapport complexe entre les événements et ce qu’on en dit et se demande si « une image peut être vraie et si on peut accéder à la vérité de quoi que ce soit. »

Adèle Van Reeth, France Culture, 14 juin 2018 – Lire l’article
Méditations westernosophiques, par Marc Rosmini

« La lauréate du prix Niépce en 1979 s’est plongée dans les négatifs de son journal photographique pour nous livrer un rafraîchissant recueil de souvenirs autour de l’iconique Combi VW. Au fil des instantanés en noir et blanc, de 1978 à 2015, on voyage en famille dans un quotidien insouciant mais non pas moins réel. »

De l’air, hiver 2017-2018 – Lire l’article
Les années Combi, par Françoise Saur

« Nouvelle pierre pour le combat féministe. Mais pas d’opportunisme surfant sur la vague puisqu’il s’agit en fait d’un mémoire d’une étudiante en art : Alice Durel à écrit Go (Médiapop éditions) comme un essai sérieux et documenté mais qui parle de la femme et de sa place dans l’art et la culture pop. Accessible et moderne, donc, comme le féminisme dont elle se réclame ! »

Renaud Monfourny, Les inrocks, 5 décembre 2017 – Lire l’article
Go, par Alice Durel

« Si les roses de Sarajevo désignent les impactent laissés par la guerre dans la ville, Rose Sarajevo inspire une nuance ambiguë sur fond d’oxymore. Se tissent ainsi au sein de ce carnet, un savant mélange entre humour, nostalgie, provocation et érotisme. »

Florence Andoka, lacritique.org, décembre 2017 – Lire l’article
Rose Sarajevo, par Marianne Maric

« Du 12 au 17 octobre, les Mulhousiens Eric Chabauty, Luc Georges et Pierre Freyburger ont effectué leur quatrième séjour à Calais, dans la continuité de leur enquête au long cours sur l’accueil des migrants en Europe, publiée chez Médiapop éditions. Ils ont pu voir l’évolution de la situation et la persévérance de plusieurs centaines de réfugiés qui veulent toujours gagner l’Angleterre. »

Frédérique Meichler, L’Alsace, 5 novembre 2017 – Lire l’article
Sept jours à Calais, par Éric Chabauty, Pierre Freyburger et Luc Georges

« Un panorama complet de la culture pop et rock. Le bilinguisme et la parenthèse s’imposent dès ce titre de Fantômes de la renommée (Ghosts of Fame) et comment pourrait-il en être autrement dans cette anthologie musicale, mais pas que, placée sous le signe du manuel d’anglais ? »

Agnès Mathieu-Daudé, Libération, novembre 2017 – Lire l’article
Fantômes de la renommée, par Antoine Couder

« Tribune : A Calais, le temps est à la chasse aux migrants.
Par Eric Chabauty, Pierre Freyburger et Luc Georges, auteurs de Sept jours à Calais, de la Dérive du continent et de Migrations : les portes de l’Europe, éditions Médiapop. »

Libération, 25 octobre 2017 – Lire l’article
La dérive du continent, par Eric Chabauty, Pierre Freyburger et Luc Georges

« Il est écrit par une femme, tourne autour de la culture pop, et son phrasé, sec et tranchant, mêle gimmicks « djeun’s » et réflexions profondes sur le féminisme. Alice Durel, en analysant des phénomènes ultra-actuels, mis en regard de moments de vie personnels, parle en définitive d’elle-même, de sa propre quête identitaire, donc forcément de nous. Rafraîchissant. »

C.B. Novo, Zut, octobre 2017 – Lire l’article
Go, par Alice Durel

« Entre essai et journal de ses plaisirs coupables, les nôtres, aussi : la musique, Antoine Couder n’as pas choisi, et c’est tant mieux. Fantômes de la renommée (Médiapop éditions) est un livre formidablement réussi qui ne se lâche plus dès qu’on l’a commencé. Il nous emporte dans les territoires de la pop culture a travers son lieu historique principal, les États-Unis. Ainsi du blues au hip-hop, il fait une brillante analyse de l’entertainment en convoquant tout l’imaginaire du rock. Indispensable. »

Renaud Monfourny, Les Inrocks, septembre 2017 – Lire l’article
Fantômes de la renommée, par Antoine Couder

« A la façon d’un slameur, Antoine Couder nous fait traverser le siècle et sa vie aussi en mixant réalité et romanesque. Ce récit d’apprentissage nous en apprend beaucoup sur notre époque. Les mots résonnent, les phrases ont du rythme et les pages semblent danser sur des musiques du rappeur Kanye West ou du rocker punk Joey Ramone. Ou quand les fantômes vont secouer les vivants. »

Marie France, été 2017 – Lire l’article
Fantômes de la renommée, par Antoine Couder

« L’écrivain voyageur Philippe Lutz, grand amoureux de la Grèce, est parti d’une expression banale (« c’est le paradis ! ») pour faire revivre le grand rêve millénaire de bonheur des civilisations et l’universalité du rêve paradisiaque à travers ses différents visages… »

Michel Loetscher, Naturisme magazine, avril 2017 – Lire l’article
Du paradis, par Philippe Lutz

« Les petits livres des éditions Médiapop ont souvent beaucoup de charme, et cette dernière livraison dédiée aux Années Combi sous le regard de Françoise Saur ne déroge pas à la règle. Avec un noir et blanc sans prétention, la photographe a enregistré ses aventures familiales, à bord de trois minibus Volkswagen, de 1978 à 2015. Un road trip familial et un voyage dans le temps qu’on parcourt avec plaisir. »

Eric Karsenty, Fisheye, mars-avril 2017 – Lire l’article
Les années Combi, par Françoise Saur

« Plus qu’un témoignage, « une action politique », dixit l’eurodéputé PS Guillaume Balas. De l’automne 2015 jusqu’au début de l’hiver dernier, les Mulhousiens Eric Chabauty, Pierre Freyburger et Luc Georges ont voyagé en France, en Europe de l’Est et au-delà pour comprendre les réalités de la question migratoire. »

Philippe Wendling, L’Alsace, 22 mars 2017 – Lire l’article
La dérive du continent, par Eric Chabauty, Pierre Freyburger et Luc Georges

« Dans son dernier livre intitulé « Du Paradis », paru en novembre 2016 aux Editions Médiapop, Philippe Lutz explore tour à tour l’Histoire, la peinture, la Bible et la littérature pour interroger ce concept vieux de trois mille ans mais toujours vivant : le paradis. »

Pes Mou, décembre 2016 – Lire l’article
Du paradis, par Philippe Lutz

« La liste énumère prosaïquement, pour dresser le portrait d’un personnage complexe et singulier. Sûr que ses ennemis, comme ses « amis », y trouveront matière à médire. Mais le fait que Michel Samuel-Weiss ait accepté ces entretiens suggère qu’il considère n’avoir désormais plus rien à perdre, politiquement. »

O. Br., L’Alsace, 16 juin 2016 – Lire l’article
La liste, par David Cascaro

« L’oeil de Phlippe Lutz fixe tout. Au travers d’images souvent décalées ou de photos parfois humoristiques, le regard retient des instants tendres, des moments complices, des situations fugitives. Les images sont bienveillantes, jamais voyeuristes, impudiques ou goguenardes. »

V.M., DNA, 27 février 2016 – Lire l’article
La photo du jour, par Philippe Lutz

« Du 1er janvier au 31 décembre, qu’il pleuve ou qu’il vente, qu’il soit en Alsace ou en Grèce, Philippe Lutz, installé à Saint-Pierre-Bois, publie un cliché sur son site « La photo du jour ». Et cela fait depuis 1999 que cela dure. Si sa vie ne se résume pas à ces photos, ces dernières résument bien sa vie. Tout en laissant une part de mystère. »

Thierry Martel, L’Alsace, 25 janvier 2016 – Lire l’article
La photo du jour, par Philippe Lutz

« Philip Anstett vient d’ouvrir ses boîtes à images argentiques et noir et blanc. Souvenirs des soirées mulhousiennes extatiques, des concerts de rock fiévreux et de voyages apaisés entre 1970 et 2000, Before Instagram est un beau témoignage d’une époque révolue. Ni mieux, ni moins bien, juste différente d’aujourd’hui. »

Laurent Gentilhomme, L’Alsace, 5 novembre 2015 – Lire l’article
Before Instagram, par Philip Anstett et Daniel Carrot

« Il conservait trente ans de photos, rangées dans des cartons. Trente ans de souvenirs des nuits chaudes mulhousiennes, instantanés de fêtes et de concerts. Finalement, Philip Anstett, ancien photographe aux DNA Mulhouse, en a fait un livre : Before instagram. »

F.Z., DNA, 5 novembre 2015 – Lire l’article
Before Instagram, par Philip Anstett et Daniel Carrot

« Avec l’édition de Pages de Mémoire, c’est une dent creuse qui disparaît : aussi étonnant que cela puisse paraître, la Bibliothèque humaniste de Sélestat n’avait jamais reçu la grâce d’un ouvrage à part entière. Désormais, c’est chose faite et de fort belle manière. »

JF-OTT, DNA, 3 novembre 2015 – Lire l’article
Pages de mémoire, par Bernard Plossu et Alberto Manguel

« À 56 ans, Bernard Heizmann publie “Monument”, un recueil mêlant photos de famille et souvenirs croisés avec sa mère : chacun d’eux s’est penché sur les clichés pour en faire le commentaire. Résultat, des tranches de la vie des autres qui ont un petit arrière-goût de la nôtre. »

Justine Demade Pellorce, lasemaine.fr, septembre 2015 – Lire l’article
Monument, par Bernard Heizmann

« Un chouette récit de voyage, à mi-chemin entre le Chemin faisant de Jacques Lacarrière et les récentes rêveries d’un promeneur solidaire du généticien et grand marcheur Axel Kahn et ses Pensées en chemin (Stock). »

Détours en France, avril 2015 – Lire l’article
En chemin vers Saint-Guilhem, par Philippe Lutz

« Bienvenue à Bledsheim, une ville un peu morne où tous les autochtones s’appellent Muller et où l’école d’art met son grain de sel dans le paysage culturel : un microcosme décrit dans ses moindres détails dans Faire dépression le nouveau livre d’Yves Tenret, formé de 472 courts paragraphes polyphoniques, chaque acteur du lieu livrant sa version des faits. »

Sylvain Freyburger, L’Alsace, mars 2015 – Lire l’article
Faire Dépression, par Yves Tenret

« Préfacé par Serge Kaganski, présent à Mulhouse, cet ouvrage de 64 pages adopte le format et le raffinement du reste de la collection Sublime. Les petites éditions Médiapop, de leur bureau rococo du coeur de Mulhouse ont été créées en 2009 – il s’agissait alors de prolonger les belles rencontres avec des artistes, des photographes, des écrivains, … »

C.S.C, DNA, Novembre 2014 – Lire l’article
Traqueuse de fantômes, par Laure Vasconi

« Un récit vrai, aux allures de fable, évoquant une marche dans le Massif central, au détour de laquelle il découvre la transformation de la France rurale. Pourquoi on l’aime ? L’homme raconte ses passions et ses rencontres avec humour et tendresse. Et ça marche. »

Aurélie Marmu, Elle, octobre 2014 – Lire l’article
En chemin vers Saint-Guilhem, par Philippe Lutz

« Dans ce récit de la vie des femmes du Gourara, des instants de poésie opèrent leur délicate ponctuation. Magie d’instants arrêtés. Beauté sobre d’atmosphères feutrées ou festives qui confondent présent et passé. Un hommage délicat, tendre mais mièvrerie, rendu aux femmes de Gourara.»

Serge Hartmann, DNA, octobre 2014 – Lire l’article
Femmes du Gourara, par Françoise Saur

« L’ouvrage, qui vient de paraître à Médiapop Editions, rassemble plus d’une centaine de photographies qui parlent de la vie qui se joue dans les cours, derrière les murs des maisons, dans les champs… »

L’Alsace, octobre 2014 – Lire l’article
Femmes du Gourara, par Françoise Saur

« Junkie, poète, oublié, mythique, croyant, tendre, punk, survivant, disparu, les adjectifs ne manquent pas, tous aussi contradictoires que l’artiste le fut tout au long de sa carrière mouvementée, mais s’accordent ici à lui dresser enfin l’élégiaque but true tombeau que son talent mérite. »

Agnès Leglise, Rock & Folk, juillet 2014 – Lire l’article
Hommage à Daniel Darc : Le Saut de l’Ange
Direction : Emmanuel Abela et Bruno Chibane

« Une quarantaine de textes (et de nombreuses photos magnifiques, parfois rares) consacrés au sombre chauffeur du Taxi Girl. On recommande ceux de ses pairs chanteurs, rockers, musiciens, de la bienveillance délicate de Dominique A à la complicité britannique de Bill Pritchard, de l’admiration transgénération d’Abd Al Malik au salut rugueux et franc du collier de Miossec. Il y a aussi une longue pièce inspirée et vibrante du proche Marc Dufaud, ou encore l’essai bordéliquement bien senti du fan Bruno Chibane qui fut trouvé par Chercher le garçon dans ses années lycée. »

Serge Kaganski, Blog Les Inrocks, 25 juin 2014 – Lire l’article
Hommage à Daniel Darc : Le Saut de l’Ange
Direction : Emmanuel Abela et Bruno Chibane

« Alors va pour un road-trip improbable, la bande de morveux multiplie les carabistouilles (les bêtises, en parler bruxellois), tout est prétexte à jeu, empoignades et joutes verbales, toutes ces hormones qui ne demandent qu’à exulter, on passe d’un étang à une casse de voitures, d’une manif en ville à une dérive en barque, jusqu’à se faire coffrer par les gendarmes. »

Jacques Lindecker, L’Alsace, juin 2014 – Lire l’article
Fourt, par Yves Tenret

« Dans un poignant récit écrit avec Frédérique Meichler et illustré par Bearboz, Abdulmalik Faizi relate comment, à 15 ans, il a quitté l’Afghanistan, traversé l’Europe livré à des passeurs puis entamé une nouvelle vie à Mulhouse. »

François Fuchs, L’Alsace, mai 2014 – Lire l’article
Je peux écrire mon histoire, par Abdulmalik Faizi

« Un récit au style si bien maîtrisé qu’il fait perdre au lecteur sa position de voyeur, l’entraîne au milieu des mômes, lui fait voir ce qu’ils voient, renifler ce qu’ils sentent, couleur la morve au nez, attraper l’accent belge. C’est une chose rare, un travail d’orfèvre. Précision dans le choix des mots, variations mélodiques, syntaxe syncope, argot bruxellois : le soufflé est puissant, bouscule, balaie toute retenue, toute pudeur. »

Patrick Morier-Genoud, Hebdo, 21 mars 2014 – Lire l’article
Fourt, par Yves Tenret

« Le photographe ne cherche pas à embellir Berlin en nous inondant de clichés carte postale, mais préfère la restitution systématique et symétrique des friches, de ces immenses bâtisses, proche de la photo d’architecture. »

Julie Kemtchuaing, Blog Die Frenchies, février 2014 – Lire l’article
Berlin 2005, par Jean-Christophe Bailly et Bernard Plossu

« Abdulmalik a connu la guerre, les talibans, et a grandi avec « cette menace permanente ». Bien qu’il reconnaisse avoir vécu « des temps très durs » en Afghanistan, il raconte à présent : « Je n’ai jamais pensé que je quitterais un jour mon pays. » C’est pourtant depuis la France, où il a élu domicile, qu’il livre le témoignage de son exil, sous la plume de la journaliste Frédérique Meichler. »

Elsa Maudet, Actualités sociales hebdomadaires n°2863, 2014 – Lire l’article
Je peux écrire mon histoire, par Abdulmalik Faizi

« C’est un récit autobiographique, rétrospectif. Celui d’une trajectoire de vie au singulier, puis au pluriel, racontées en photographies noir et blanc au format carré. Avec Comme neige au soleil, Pascal Bastien propose, à la manière d’Alain Cavalier et ses journaux intimes filmés, un montage de photographies réalisées au fil du temps. »

Anne-Claire Cieutat, Bande à part, 10 janvier 2014 – Lire l’article
Comme neige au soleil, par Pascal Bastien

« Pascal Bastien, journaliste-photographe, publie un livre inattendu, Comme neige au soleil, une série de photos qui ne sont issues d’aucune collection, aucun reportage, aucune commande. Toutes en noir et blanc, au format carré. Dans cette vie sur pellicule, on se croirait dans L’Étranger. »

Pierre France, Rue 89, 20 novembre 2013 – Lire l’article
Comme neige au soleil, par Pascal Bastien

« En 2005, Bernard Plossu capture au 50 mm le visage d’un Berlin réunifié. La galerie Robert Doisneau du CCaM de Vandœuvre accompagne la publication de ces clichés, révélateurs d’une capitale tournée vers l’avenir. »

Claire Tourdot, Novo, décembre 2013 – Lire l’article
Berlin 2005, par Jean-Christophe Bailly et Bernard Plossu

« Par le biais d’un verbe médical, scientifique, mathématique, Nathalie Sonntag livre dans cet opus une litote du contemporain, où le sens se perd quand la mémoire n’est plus. Le lieu du monde, c’est aussi le gant relevé par le collectif, la mêlée incertaine mais nécessairement victorieuse à ceux qui se soutiennent. »

David Georges-Picard, Gaudium Libri, décembre 2013 – Lire l’article
Le lieu du monde, par Nathalie Sonntag

« Il s’agit plus d’un carnet de notes, d’un journal de bord succint, que d’un véritable récit. Geneviève Pernin est consciente des limites de son action et du trouble qu’il lui arrive de susciter dans l’univers hospitalier, si hiérarchisé. »

Jean-Pierre Tenoux, L’est Républicain, septembre 2013 – Lire l’article
Un même moment d’existence, par Geneviève Pernin
Avec des photographies de Lin Delpierre

« Le Salon international du livre insulaire d’Ouessant, qui se poursuit jusqu’à demain soir, a rendu hommage à la Grèce en attribuant, hier, le Grand prix des îles du Ponant à « Iles Grecques, mon amour », un abécédaire de lettres grecques écrit par Philippe Lutz et édité chez Mediapop. »

Le télégramme, août 2013 – Lire l’article
Îles grecques, mon amour, par Philippe Lutz
Avec des photographies de Bernard Plossu

« Ce qui ne devait jamais être un livre en est devenu un, récemment, après coup, comme une évidence pour rendre compte de ce rapport, privilégié, avec le corps en souffrance de l’autre. Quatre vingts pages hors du temps et du contexte, puisque le projet de Geneviève Pernin a abouti. »

Karine Frelin, Le Pays, août 2013 – Lire l’article
Un même moment d’existence, par Geneviève Pernin
Avec des photographies de Lin Delpierre

« Un livre toxique. Parce que Yves Tenret est de son époque mais aussi d’une époque ou il y avait une marge, avec un fondement « intellectuel ». Il est de la dernière génération Situ, et son style tout en cut fait merveille. Bref, Funky Boy est un recueil de textes précieux, hallucinés, poétiques où l’on se perd avec délice. »

Renaud Montfourny, Blog les Inrocks, janvier 2013 – Lire l’article
Funky Boy, par Yves Tenret

« Ce livre touchant témoigne d’une époque qui marqua à jamais Bernard Plossu et nous rappelle que pendant quelques années, les hippies crurent sincèrement qu’un monde meilleur et une vie plus proche de la nature étaient possibles. »

Alain Veinstein, France Culture, décembre 2012 – Lire l’article
Far Out !, par Bernard Plossu

« Une succession de nouvelles et de poèmes. Un ton et un style furieux. La prépondérance de la parole sur le bavardage. Un rire. Funky Boy est à l’opposé de l’indigent esprit de connivence de l’époque. »

Patrick Mornier-Genoud, L’Hebdo, décembre 2012 – Lire l’article
Funky Boy, par Yves Tenret

« Au fil de 256 pages de cet ouvrage richement illustré par le photographe Bernard Plossu, Philippe Lutz nous fait partager sa passion pour les îles de la mer Egée. Le lecteur voyage d’île en île, découvrant tour à tour leur histoire plurimillénaire, la richesse de leur culture et la beauté de leurs paysages, dévoilant les différents visages d’une Grèce aussi riche que mystérieuse.»

Jacques Lindecker, L’Alsace, octobre 2012 – Lire l’article
Îles grecques, mon amour, par Philippe Lutz
Avec des photographies de Bernard Plossu

« Les images parlent d’un pays haut en couleurs, plongé aujourd’hui dans l’obscurité. Un témoignage original, et d’autant plus fort. »

J.-L., L’Alsace, janvier 2012 – Lire l’article
Raqa, par Christophe Fourvel

« Le photographe ne porte bien évidemment plus ni barbe, ni cheveux longs à la taille, encore moins ces grosses bajoues en opale à chaque doigt. Et il ne dit plus, à tout propos, « far out » – « fantastique » dans le jargon hippie d’alors. Pourtant Bernard Plossu reste d’une fidélité absolue au jeune homme qu’il fut au milieu des années 1960, parcourant les routes du Mexique dans le pur esprit beatnik d’un Jack Kerouac. »

Luc Desbenoit, Télérama, janvier 2012 – Lire l’article
Far Out !, par Bernard Plossu

« Chouette un livre de cinglés. Vincent Vanoli dessinateur “rock”, plus proche de Crumb que de Hergé, imagine via les paroles de groupes un assemblage croquignolesque avec ses dessins suintant le vécu de la rue et de la gueule de bois post-concerts. »

Thierry Gaillet, L’Indépendant, décembre 2011 – Lire l’article
Songs to learn and sing, par Vincent Vanoli

« Des voyages intérieurs pour un familier du genre, qu’il s’exprime à travers la fiction, le reportage ou l’autobiographie. Images mentales plaquées sur des paroles de chansons, Songs to Learn and Sing, interprétations aléatoires des Understones, Wave Pictures, Au Pairs… Une idiosyncrasie constituée en échangeant aussi avec les auteurs des textes, des amis redoutablement calés. »

Central Vapeur, décembre 2011
Songs to learn and sing, par Vincent Vanoli

« Pas de ligne claire, un trait qui ne cherche pas à séduire mais à montrer, à raconter une histoire, son histoire. Car on y revient toujours forcément : c’est de ces mondes qu’il s’inspire – des mondes qui l’inspirent, voire l’aspirent. »

Daniel Carrot, D.N.A, novembre 2011 – Lire l’article
Songs to learn and sing, par Vincent Vanoli

« La Courneuve, mémoires vives a une dimension d’hommage mais aussi de combat. Film comme livre disent des passions, des colères, des refus, des espoirs, des histoires en mouvement. »

Christine Marcandier, Médiapart, novembre 2011 – Lire l’article
La Courneuve, mémoires vives, par Les élèves du Lycée Jacques Brel, Chloé Korman et Solène Nicolas

« Comme n’importe quel morceau de ville, les banlieues sont avant tout des lieux de vie et de dignité qui en ont assez d’être bannis. L’ouvrage La Courneuve, mémoires vives en est un beau témoignage et aucune tour, aussi dégradée soit-elle, ne viendra à bout de toute l’humanité qui se cache derrière les portes. »

Frédérique Meichler, L’Alsace, septembre 2011 – Lire l’article
La Courneuve, mémoires vives, par Les élèves du Lycée Jacques Brel, Chloé Korman et Solène Nicolas

« Entre amitié et liberté, Peace and love, Plossu évoque le sortilège de ces années patchouli, avant son départ pour l’Inde en 1970 (…). Plus qu’un grenier à souvenirs, Far Out! s’essaie à rassembler des bouts du monde et « des rencontres d’âmes », ainsi que le dit joliment l’auteur. »

Brigitte Ollier, Libération, juillet 2011 – Lire l’article
Far Out !, par Bernard Plossu

« Il y a des jours, il y a des nuits. Il y a le rock, il y a les riffs. Il y a des paroles électriques. Le stylo qui vrille comme la guitare et le mot qui percute comme le souffle d’une basse qui chamboule la pression cardiaque, tel un tsunami interne. Il est minuit, Scheubel et Walliser vont encore sortir ce soir. »

Daniel Carrot, D.N.A, 5 mars 2010 – Lire l’article
About Rock, Sex and Cities, par Henri Walliser et Denis Scheubel