La faute aux dinosaures

Anthony Ghilas

8.00 

La fin du monde, ça fait un moment qu’on nous l’annonce. Si elle arrive, ce livre sera un bloc de mémoire caché parmi les décombres ; et si elle n’arrive pas, il est à partager comme un témoignage, un pavé dans la mare, un pavé dans la vitre. Anthony Ghilas, poète punk rock banni de l’éducation Nationale et en mouvement constant – stylo au poing et objectif à l’œil – livre ses portraits, réflexions et récits de voyages entre la France et la Californie avec colère et misanthropie. Les désaxés, les sans-abris et les Sisyphes modernes qui hantent sa prose sont les derniers représentants de la race humaine. échappant à l’obscurité, l’auteur trouve les clés de l’optimisme dans la rage, les yeux d’une fille et les rayons de soleil d’une plage de Los Angeles ou d’un boulevard industriel.

« Je veux juste une toute petite preuve qu’il y a encore de l’énergie dans les interstices de ce qu’ils ont détruit ! Je veux qu’on me dise qui sortira dans les rues pour construire la termitière tatouée quand tout aura été détruit ! »
Vous?


Un livre apocalypticopoétique qui concentre misanthropie, rencontres et expériences humaines.
Let things come.

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Mise en vente : 30 mai 2012
Prix public : 8 €
Isbn : 978-2-918932-09-3
Format (L x H) : 120×180 mm
Genre : Photographies et textes
Editeur : Médiapop éditions
Pagination : 52

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